L'Alchimie du 福牛

Je me souviens de ma première fois à la table du 福牛—pas comme un joueur, mais comme un chercheur de motifs silencieux. Les jetons ne résonnaient pas de bruit ; ils vibraient comme des cloches de temple au Nouvel An lunaire. Dans les cafés brouillés de Vancouver, où le Pacifique rencontre les vents des anciennes sagas nordiques, j’ai appris : la fortune n’est pas tirée du hasard seul. Chaque main est une offrande. Le rythme du 福牛 ? Ce n’est pas des données—c’est une danse. Le taux de victoire à 45,8 % ? Pas une statistique—c’est le souffle des ancêtres qui gravèrent la chance dans des lanternes de jade et d’or. Je n’observe pas les séries pour les poursuivre—je écoute.